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Description
Avec des contributions d'Ilse Bogaerts, Émilie Gaillard, Dominique Henrard, Pierre Lierneux, Kris Michiels, Sandrine Smets, Rob Troubleyn, Piet Veldeman et Philippe Jacquij. Cet ouvrage richement illustré compte 600 pages et plus de 1650 illustrations en couleur et en noir et blanc. Il est consacré à l'uniforme et à l'équipement de l'armée belge et d'autres formations armées apparentées comme la Garde Civique et la Force Publique du Congo. Jusqu'à présent, la littérature à ce sujet était pauvre, limitée après cent ans à quelques articles et brochures.
Cet ouvrage de référence impressionne par son ampleur et son contenu. Il s'appuie sur les collections du Musée Royal de l'Armée et d'Histoire Militaire de Belgique et de personnes privées. Cela permet de présenter autant d'objets que possible. Comme beaucoup d'armées de petits pays, celle de la Belgique en 1914 était sous l'influence de différentes grandes puissances. Pour l'uniforme, on suivait surtout la France, pour l'équipement plutôt l'Allemagne. Le budget de l'Etat obligeait à simplifier l'uniforme. Cela se répercuta sur l'apparence de l'infanterie (Infanterie de ligne, Chasseurs à pied, Carabiniers), de la cavalerie (Guides, Lanciers, Chasseurs à cheval), de l'artillerie et des troupes du génie. Il n'y eut ensuite plus de grandes différences au sein des armes, à l'exception des couvre-chefs obsolètes. La volonté d'uniformité s'est logiquement concrétisée en 1915 avec la distribution de l'uniforme kaki à tous les soldats. La coupe de l'uniforme était inspirée par la Grande-Bretagne. Quelques mois plus tard, le casque français Adrian suivait. En raison de la guerre, l'équipement provenait des sources les plus diverses : France, Grande-Bretagne, Italie, Russie, Argentine ou encore des États-Unis d'Amérique. Aujourd'hui, nombre de ces objets sont devenus rares dans les collections.
En août 1914, le nom 'Belgique' est apparu brusquement à la une des journaux internationaux lorsque l'Empire allemand a envahi le pays neutre, oubliant ainsi ses obligations internationales. Il s'en est suivi la déclaration de guerre de la Grande-Bretagne. La 'Poor Little Belgium' était née ; avec la Serbie, elle apparaissait comme une cause à défendre et justifiait le combat des Alliés. Sur le plan militaire, l'armée belge surprit le monde entier par sa résistance, qui fut plus forte que prévu. Avec 230.000 hommes, elle était peu nombreuse et combattit l'ennemi pendant toute la durée de la guerre mondiale sur ce qui restait de territoire national, en partie inondé. A l'automne 1918, l'offensive reprit. La Belgique avait subi de graves dévastations et dommages. C'est dans ce contexte qu'elle reçut en priorité des indemnités après la conclusion de la paix.
Cet ouvrage de référence impressionne par son ampleur et son contenu. Il s'appuie sur les collections du Musée Royal de l'Armée et d'Histoire Militaire de Belgique et de personnes privées. Cela permet de présenter autant d'objets que possible. Comme beaucoup d'armées de petits pays, celle de la Belgique en 1914 était sous l'influence de différentes grandes puissances. Pour l'uniforme, on suivait surtout la France, pour l'équipement plutôt l'Allemagne. Le budget de l'Etat obligeait à simplifier l'uniforme. Cela se répercuta sur l'apparence de l'infanterie (Infanterie de ligne, Chasseurs à pied, Carabiniers), de la cavalerie (Guides, Lanciers, Chasseurs à cheval), de l'artillerie et des troupes du génie. Il n'y eut ensuite plus de grandes différences au sein des armes, à l'exception des couvre-chefs obsolètes. La volonté d'uniformité s'est logiquement concrétisée en 1915 avec la distribution de l'uniforme kaki à tous les soldats. La coupe de l'uniforme était inspirée par la Grande-Bretagne. Quelques mois plus tard, le casque français Adrian suivait. En raison de la guerre, l'équipement provenait des sources les plus diverses : France, Grande-Bretagne, Italie, Russie, Argentine ou encore des États-Unis d'Amérique. Aujourd'hui, nombre de ces objets sont devenus rares dans les collections.
En août 1914, le nom 'Belgique' est apparu brusquement à la une des journaux internationaux lorsque l'Empire allemand a envahi le pays neutre, oubliant ainsi ses obligations internationales. Il s'en est suivi la déclaration de guerre de la Grande-Bretagne. La 'Poor Little Belgium' était née ; avec la Serbie, elle apparaissait comme une cause à défendre et justifiait le combat des Alliés. Sur le plan militaire, l'armée belge surprit le monde entier par sa résistance, qui fut plus forte que prévu. Avec 230.000 hommes, elle était peu nombreuse et combattit l'ennemi pendant toute la durée de la guerre mondiale sur ce qui restait de territoire national, en partie inondé. A l'automne 1918, l'offensive reprit. La Belgique avait subi de graves dévastations et dommages. C'est dans ce contexte qu'elle reçut en priorité des indemnités après la conclusion de la paix.
- Groupe
- Livres (neufs)
- Auteur
- Lierneux, Pierre
- Titre
- L'armée belge dans la Grande Guerre. Band 1
- Détails
- Texte français, reliure en toile avec jaquette, env. 1650 photos couleur, photos et illustrations contemporaines en noir et blanc, grand format (25 x 29,5 cm). 600 pages.
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