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Description
Ce livre présente le parcours des régiments et des personnalités des Pays-Bas méridionaux, aujourd'hui presque oubliés, au sein de l'armée impériale et royale de 1752 à 1758, de manière totalement inédite. Armée de 1756 à 1815 d'une manière totalement inédite, basée non seulement sur des sources primaires, mais aussi sur une iconographie abondante et inédite dans sa diversité.
Cette dernière est d'autant plus précieuse que la monarchie autrichienne - contrairement à la France - n'a pas commandé d'innombrables 'peintures de bataille'. Elle n'a pas non plus, contrairement à la Prusse par exemple, accordé une grande importance à la conservation des anciens uniformes de ses armées pour la postérité. Les collections du 'Musée Royal de l'Armée et d'Histoire Militaire' de Bruxelles contiennent toutefois de nombreux témoignages matériels, imprimés et manuscrits, de cette époque : ils sont tous présentés dans ce livre. Les châteaux de Belgique, à commencer par celui de Beloeil, ont donné l'autorisation de reproduire leurs trésors familiaux : portraits, plans de bataille en couleur, armes, pièces d'équipement et uniformes. L'Université de Namur possède dans sa bibliothèque deux collections d'ouvrages anciens sur Charles-Joseph de Ligne, maréchal de camp et écrivain. Le Heeresgeschichtliche Museum de Vienne s'est associé à d'autres institutions en Autriche, en Belgique, au Luxembourg et en Allemagne pour faire de ce livre un véritable catalogue de pièces de collection et la représentation imagée la plus complète de la puissante armée des Habsbourg de la seconde moitié du 18e siècle jusqu'au début du 19e siècle.
Le souvenir des Belges dans l'armée des Habsbourg autrichiens du XVIIIe siècle semble avoir été totalement perdu, alors qu'ils jouissaient à l'époque d'un prestige immense et fournissaient tout de même dix-sept maréchaux et une cinquantaine de généraux.
Les unités belges étaient généralement qualifiées de 'wallonnes' et recrutées aux 'Pays-Bas'. Il y avait au total cinq régiments d'infanterie de ce type, plusieurs corps francs, un régiment de cavalerie, des troupes d'artillerie et de pionniers, bref, l'embryon d'une véritable armée nationale. Ces unités firent leurs preuves pendant la guerre de Sept Ans (1756-1763) contre les Prussiens de Frédéric II. Les victoires autrichiennes de Kolin, Hochkirch, Domstadtl et Adelsbach, entre autres, leur furent en grande partie attribuées. Contre la France révolutionnaire, les 'régiments nationaux' - comme on les appelait dans les Pays-Bas autrichiens - furent engagés entre autres à Neerwinden, Valenciennes, Fleurus, Würzburg, Stockach, Trebbia et Marengo. Au-delà de l'historiographie glorifiante du XIXe siècle, les archives et les témoignages de leurs anciens adversaires confirment également la qualité et le professionnalisme des 'Wallons'.
Les Belges ont également apporté leur contribution sur le plan intellectuel, ce qui n'a pas non plus été suffisamment reconnu. Le prince Charles-Joseph de Ligne était, comme on le sait, probablement le plus grand théoricien militaire autrichien du XVIIIe siècle, mais il y avait à côté de lui de nombreux autres officiers flamands, wallons et bruxellois qui, grâce à leurs compétences de tacticiens, d'ingénieurs, de dessinateurs et de cartographes, ont travaillé dans l'armée impériale. Cela était lié à une particularité belge, à savoir le niveau d'éducation élevé et la prospérité matérielle des Pays-Bas au sein des nombreuses possessions des Habsbourg.
Cette dernière est d'autant plus précieuse que la monarchie autrichienne - contrairement à la France - n'a pas commandé d'innombrables 'peintures de bataille'. Elle n'a pas non plus, contrairement à la Prusse par exemple, accordé une grande importance à la conservation des anciens uniformes de ses armées pour la postérité. Les collections du 'Musée Royal de l'Armée et d'Histoire Militaire' de Bruxelles contiennent toutefois de nombreux témoignages matériels, imprimés et manuscrits, de cette époque : ils sont tous présentés dans ce livre. Les châteaux de Belgique, à commencer par celui de Beloeil, ont donné l'autorisation de reproduire leurs trésors familiaux : portraits, plans de bataille en couleur, armes, pièces d'équipement et uniformes. L'Université de Namur possède dans sa bibliothèque deux collections d'ouvrages anciens sur Charles-Joseph de Ligne, maréchal de camp et écrivain. Le Heeresgeschichtliche Museum de Vienne s'est associé à d'autres institutions en Autriche, en Belgique, au Luxembourg et en Allemagne pour faire de ce livre un véritable catalogue de pièces de collection et la représentation imagée la plus complète de la puissante armée des Habsbourg de la seconde moitié du 18e siècle jusqu'au début du 19e siècle.
Le souvenir des Belges dans l'armée des Habsbourg autrichiens du XVIIIe siècle semble avoir été totalement perdu, alors qu'ils jouissaient à l'époque d'un prestige immense et fournissaient tout de même dix-sept maréchaux et une cinquantaine de généraux.
Les unités belges étaient généralement qualifiées de 'wallonnes' et recrutées aux 'Pays-Bas'. Il y avait au total cinq régiments d'infanterie de ce type, plusieurs corps francs, un régiment de cavalerie, des troupes d'artillerie et de pionniers, bref, l'embryon d'une véritable armée nationale. Ces unités firent leurs preuves pendant la guerre de Sept Ans (1756-1763) contre les Prussiens de Frédéric II. Les victoires autrichiennes de Kolin, Hochkirch, Domstadtl et Adelsbach, entre autres, leur furent en grande partie attribuées. Contre la France révolutionnaire, les 'régiments nationaux' - comme on les appelait dans les Pays-Bas autrichiens - furent engagés entre autres à Neerwinden, Valenciennes, Fleurus, Würzburg, Stockach, Trebbia et Marengo. Au-delà de l'historiographie glorifiante du XIXe siècle, les archives et les témoignages de leurs anciens adversaires confirment également la qualité et le professionnalisme des 'Wallons'.
Les Belges ont également apporté leur contribution sur le plan intellectuel, ce qui n'a pas non plus été suffisamment reconnu. Le prince Charles-Joseph de Ligne était, comme on le sait, probablement le plus grand théoricien militaire autrichien du XVIIIe siècle, mais il y avait à côté de lui de nombreux autres officiers flamands, wallons et bruxellois qui, grâce à leurs compétences de tacticiens, d'ingénieurs, de dessinateurs et de cartographes, ont travaillé dans l'armée impériale. Cela était lié à une particularité belge, à savoir le niveau d'éducation élevé et la prospérité matérielle des Pays-Bas au sein des nombreuses possessions des Habsbourg.
- Groupe
- Livres (neufs)
- Auteur
- Colson, Bruno
- Titre
- Belgians in the Habsburg Army. Regiments and Military Personnel of the Austrian Netherlands, 1756-1815
- Détails
- Texte en anglais, env. 1200 photos et autres illustrations, grand format. 416 pages.
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